Pourquoi continue-t-on à implanter dans les grandes villes déjà saturées de nouveaux bâtiments de bureaux, de nouvelles usines ?
Pourquoi ces installations ne sont-elles pas déployées dans des communes périphériques, dans des régions peu favorisées ?
Cela éviterait que des villes, des régions meurent lentement mais sûrement, de vident d’une population contrainte de s’exiler dans de grandes villes ou des coûts de vie désormais exorbitants l’attendent, ou nous perdons aujourd’hui tout confort de vie. Travail, auto, dodo… La saturation des grandes villes nous récite cette litanie.
Je vis sur la région toulousaine ou nous connaissons les joies des bouchons aux heures de pointe. Des périphériques saturés, des files de voitures mono utilisées pendant 2 heures le matin, 3 heures le soir…. A 30, 50, 100 Km autour, des villes qui meurent sans implantations, sans travail à offrir. Au mieux elles se transforment en cités dortoir, au pire en jachère urbaine… Quelque fois les familles reviennent le temps d’un week-end, le temps de courtes vacances… Que gagnons-nous à saturer un peu plus chaque jour nos grandes villes ? Certes, l’arrivée du métro, les liaisons TER apportent un confort. Encore faut-il être desservi correctement.
Hier des lignes non rentables de chemin de fer ont été fermées, démontées et les terrains vendus.
Aujourd’hui nous les regrettons ces lignes que des trains TER pourraient parcourir tranquillement doublant la file de voitures agglutinées sur la route parallèle. Nous commençons à peine à comprendre que des lycées peuvent s’implanter en banlieue.
Quand prévoirons-nous le réseau routier avant l’expansion des banlieues ?
Quand replanterons-nous des voies ferrées pour desservir ces futurs lotissements ?
Pourquoi ces installations ne sont-elles pas déployées dans des communes périphériques, dans des régions peu favorisées ?
Cela éviterait que des villes, des régions meurent lentement mais sûrement, de vident d’une population contrainte de s’exiler dans de grandes villes ou des coûts de vie désormais exorbitants l’attendent, ou nous perdons aujourd’hui tout confort de vie. Travail, auto, dodo… La saturation des grandes villes nous récite cette litanie.
Je vis sur la région toulousaine ou nous connaissons les joies des bouchons aux heures de pointe. Des périphériques saturés, des files de voitures mono utilisées pendant 2 heures le matin, 3 heures le soir…. A 30, 50, 100 Km autour, des villes qui meurent sans implantations, sans travail à offrir. Au mieux elles se transforment en cités dortoir, au pire en jachère urbaine… Quelque fois les familles reviennent le temps d’un week-end, le temps de courtes vacances… Que gagnons-nous à saturer un peu plus chaque jour nos grandes villes ? Certes, l’arrivée du métro, les liaisons TER apportent un confort. Encore faut-il être desservi correctement.
Hier des lignes non rentables de chemin de fer ont été fermées, démontées et les terrains vendus.
Aujourd’hui nous les regrettons ces lignes que des trains TER pourraient parcourir tranquillement doublant la file de voitures agglutinées sur la route parallèle. Nous commençons à peine à comprendre que des lycées peuvent s’implanter en banlieue.
Quand prévoirons-nous le réseau routier avant l’expansion des banlieues ?
Quand replanterons-nous des voies ferrées pour desservir ces futurs lotissements ?
La planète tousse, il est désormais de bon ton d’en parler, de s’en soucier. Agissons, grandissons, ne laissons pas mourir nos communes au détriment des villes, sachons planter des arbres, sachons entretenir nos parcs, nos forêts, sachons mieux nous répartir sur le territoire. C’est grâce à cela que nous améliorerons notre confort de vie, c’est à ce prix que nous diminuerons la pollution : le rapport des deux n’en sera que meilleur et cela bien sur jouera sur notre bonheur.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire