Isabelle

Isabelle, toi qui fut compagne de ma vie
Si souvent je t’ai ennuyé, sans en avoir envie
A présent que nos vies se dissocient lentement
Belle au grand cœur, amie, très certainement
Etre ensemble en de différents sentiments
Lire dans la vie de l’autre ses propres errements
Lentement et sûrement trouver nos marques
Et complices rester, sachant mener nos barques

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