Double sens

De la pluie naît la vie, alors gardons espoir en demain. D’ailleurs, avons-nous d’autres choix qu’espérer ? Pour avoir failli à cela, j’ai failli ne plus jamais espérer. L’espoir fait donc vivre ? Apparemment ! Pourtant cette phrase, l’espoir fait vivre, est trop souvent une phrase amère, un propos désabusé. Etrange.

Etrange aussi toutes ces expressions, tous ces mots dont le sens peut être ambigu, et donc forcement engendre des incompréhensions notoires… Bon, ok, peut-être que mon cerveau est tordu ? Normal, c’est un cerveau de gaucher, pur et dur, mais cela c’est une autre histoire que j’écrirais un jour…

Voici quelques expressions à double sens :

Manquer. Quand on dit : « Tu m’as manqué », est-ce que cela veux dire : Tu m’as loupé, ou bien ton absence est un vide pour moi ?

Embrasser : D’un point de vue étymologie, c’est prendre dans ses bras, non ? Ne dit-on pas : « qui trop embrasse, mal étreint » ? Etreint ? Etreinte ? Encore une double sens ?

Baiser = déposer un baiser, et non une pratique sportive sans sentiment.

Aimer. Mot compliqué. On aime son travail, sa voiture, ses amis, sa famille, la viande rouge, sa femme, sa maîtresse, être aimé… Du coup comment exprimer une différence entre amour et amitié ? Comment se faire bien comprendre ?

Maîtresse. On la quitte à l’école, on la prend plus tard.

Coucher. S’allonger, non ?

Puis viennent encore et toujours les homophones…

Penser et panser,
mots et maux,
Dépenser et des pensées (as-tu des pensées pour moi ? ou, as tu dépensé pour moi ?)

Sûrement bien d’autres encore… Je reprendrai ce texte au fur et à mesure de vos messages ou de mes idées !
En attendant, bonne journée et surveiller vos mots et le sens compris car des mots découlent les maux …

Aucun commentaire: