Et c’est par un long chemin étroit
Qu’il poursuivit à travers les bois
Les pas lourds et pesant soulevant
A chaque fois une poussière aux vents
Le sommet n’apparaissait plus
Caché par la fronde chevelue
Pas plus que ne se voyait
L’église et son village déployé
Le temps était beau et chaud
Le temps était chaud et beau
L’allure certes ralentissait
Mais surement il progressait
Bientôt le tunnel de vert
Laissait voir la lumière
« Enfin le bout du tunnel » se dit-il
La piste large était un autre exil
Le répit ne fut que de courte durée
Le sentier retrouvé, montée assurée
Roches abruptes et étroitesse
Sont les signes de l’ivresse
La future, celle du sommet
Voilà, ça y est, il est arrivé
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