Actualités

Restons actuels, ou plutôt, l’adverbe pas le chien, restons dans l’actualité… Aux dernières nouvelles l’ancienne première dame de France souhaiterait se marier avec son amant actuel et passé puisqu’elle est restée fidèle à ses premières amours préélectorales, un temps mis de côté, le temps d’honorer ou d’inaugurer le costume de première dame de notre beau pays. Soit, me direz-vous. Certes, mais là, ne voilà t’il pas un prétexte suffisant à notre premier homme de France pour lui griller la politesse et se marier avant ? Bon, la dame connue durant cette période préélectorale n’ayant pas été retenue ou plutôt, l’adverbe toujours et toujours pas le chien, elle n’a peut-être pas voulu attendre voire même, choix ô combien cruel de l’existence, elle s’aperçut en son temps, que les astres n’étaient pas en phase, quel désastre ! Heureusement, une belle princesse, du genre affamée si on en croit son CV, passa par-là, et croisa le regard du petit homme aux hautes fonctions… Quel joli conte de fée ! D’ailleurs, l’histoire se passe non pas de commentaires, mais non, l’histoire se passe chez l’ami Mickey… Tiens, encore un américain ! Notre homme épris est pris d’une envie irrésistible de griller son ancienne moitié devant l’autel. Autrefois, on parlait de brûler sur l’autel, là, on grille devant… Autres temps, autres mœurs…

Bref, voici les derniers ragots, ou commentaires, ou constatation, bref, vous savez ces petites choses anodines et sans importances, qu’on se raconte chez le coiffeur, qui vous trotte dans la tête et vous font oublier que le beurre a encore augmenté. Pourquoi le beurre ? Et bien, je ne sais pas, peut-être un souvenir de tartine dans un coin embrumé de mon cerveau. De toute façon, le pain aussi a augmenté, le carburant, les céréales, la farine, tout quoi ! Et puis, c’est un exemple comme un autre que j’ai glissé là, comme ça, dans la phrase. Glisser du beurre au lieu de glisser dessus, avouez que c’est osé, non ? De toute façon, voilà bien un exemple qui compte pour du beurre. D’autant plus que ce matin, je n’ai pas beurré mes tartines ! Qu’ai-je donc mangé ? Ah oui ! Des petits beurres ! Et oui, ces chers (encore ?) gâteaux de mon enfance au goût si inimitable, aux parfums de souvenirs lointains, seuls ou tartinés de nutella… Mais bon, je ne suis pas là pour vous mettre l’eau à la bouche, mais pour savourer avec vous cette actualité croustillante, ou presque ! Simple information masquant bien des réalités plus sombres et nettement moins sucrées… D’ailleurs, les petits beurres ne sont pas si croustillants… Au fait, qu’est-ce qui est dur, rentre dur et ressort mouillé ? Et bien, un petit beurre dans mon café ! Trop facile pour y échapper !

Donc, voilà l’histoire, point de quartier du Mistral en fond de décor (elle est pas belle la vie ?), Non, décor Elyséen, parisien même d’un point de vue (et image du monde ?) Provincial, quatre acteurs, le jeune premier, sa femme destituée et la belle chanteuse… Quatre ? Ah oui, si les trois mousquetaires étaient quatre, la tradition persiste ! Reste le publicitaire, plutôt (encore ! Ben oui, et toujours pas le chien !) Je disais donc plutôt caché en Suisse, ce beau pays aux courbes et à la fiscalité magnifique quand on a de l’argent… Série à succès, commencée bien avant le 6 mai, histoires à rebondissements, non pas cantonnées sur une seule et même chaînes, mais sur tous les médias possibles et mondiaux, au point de voir des pays refuser d’accueillir le prince et la chanteuse, et d’autres s’enorgueillir d’être ainsi rattachés à la couronne de France… La cour du roi ? non, point du roi, du prince héritier des lambris de notre cinquième (et dernière) république, le despote et sa cour, ou désormais les chanteuses remplacent les troubadours…

Souriez, mais point trop, ce n’est point là fiction. Le pouvoir aiguise les appétit et attire les alouettes. A trop briller, on éblouit si fort que les yeux se plissent et se ferment, parfois à jamais. A trop se moquer du peuple, un jour il gronde d’une seule voix et réclame autre chose que de la soupe télévisuelle. L’histoire, notre histoire, celle de pays pas si loin du notre, n’est jamais bien loin. Les porte-monnaie vides finissent par ne plus se contenter des contes de fées ou plutôt, l’adverbe encore, par s’apercevoir que de lui on se moque…


Plutôt ? Mais pourquoi plutôt ? Et bien, parce que Pluto, le chien, lui, il est resté chez lui, à Disney !

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